Les torrents d’Alcyone

Il existe un language, qui ne nous appartient, prodigieux incessant, une orbe galactée,
Une braise invisible, tremblement sibyllin, qui nous enveloppe tous et peut nous éveiller.
Non loin de nos roulis, nos raffuts inféconds, volontés capricieuses, désirs inapaisés,
Avant tout malgrès nous, passera cet adage, liquéfions nos tabous, croisons vers ses rivages.

Ou de mes nuits sublîmes, depuis nombreux me frôle, aux quatre coins des lunes a me fixer des rôles
Sur ces flancs vaporeux, cette ombre vile inerte, guettant l’apache luisant au recoin de mon être.
Que par instinct peut être ou ennui des systèmes, mes esprits à la note humide et transparents,
Le coeur l’envie la joie, m’ ôte à pointer plus haut, les jets de mon regard, le goût des baromètres...

A suivre...

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